Elections 2024

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Européen·ne +16 ans
(sauf Belges)

Elections européennes
le 9 juin 2024

Avant le 31 mars 2024
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Européen·ne +18 ans
(sauf Belges)

Elections communales
le 13 octobre 2024

Avant le 31 juillet 2024
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Extra-européen·ne +18 ans avec 5 ans de résidence en Belgique (en séjour légal)

Elections communales
le 13 octobre 2024

Avant le 31 juillet 2024
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Belge depuis peu ? Pas besoin de s’inscrire ! En tant que Belge, vous êtes automatiquement inscrit·e comme électeur/électrice aux élections européennes, fédérales et régionales du 9 juin 2024 ainsi qu’aux élections communales et provinciales du 13 octobre 2024.

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Belge depuis peu ? Pas besoin de s’inscrire ! En tant que Belge, vous êtes automatiquement inscrit·e comme électeur/électrice aux élections européennes, fédérales et régionales du 9 juin 2024 ainsi qu’aux élections communales et provinciales du 13 octobre 2024.

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Pratiquer l’action et l’évaluation expérimentalistes

Pratiquer l’action et l’évaluation expérimentalistes
Deux journées de formation en atelier

On peut observer l’émergence d’un type d’action expérimentaliste dans le cadre des nouveaux modes de gouvernance démocratique. Il s’agit de rechercher la participation la plus large et la coopération autour de situations problématiques. Des acteurs confrontés à un même problème, mais pouvant agir à des niveaux différents et avoir des intérêts divergents, sont amenés à construire progressivement une représentation commune de la problématique pour ensuite imaginer des solutions. Dans une approche expérimentaliste, la qualité des expérimentations et des apprentissages est un enjeu aussi important que la résolution du problème lui-même. Ce mode d’action présenterait l’avantage de dépasser les faiblesses inhérentes aux méthodes de gestion et d’évaluation de l’action publique et associative actuelles : freins à la coopération, aux transformations et aux apprentissages sociaux.

Vous êtes acteur de terrain, chef de projet, membre d’une administration publique ou chercheur ?

Le Réseau Egalité et PhiloCité Recherches organisent deux journées de formation autour de l’action et de l’évaluation collectives dans une visée expérimentaliste. Les journées de formation en atelier visent à pratiquer l’action collective et l’évaluation autour de situations sans recourir à la planification et à la segmentation du projet. À travers le travail en atelier chaque groupe de participants (Hainaut, Namur-Luxembourg, Brabant Wallon-Bruxelles et Liège) contribuera à l’élaboration de processus d’action et d’évaluation expérimentalistes. Ces différentes contributions seront partagées dans le cadre d’un séminaire organisé à Namur en décembre.

Les deux jours de formation en atelier sont organisés dans quatre lieux différents :

  • Hainaut : mardi 19 et 26 septembre 2023 – AVIQ – boulevard Mayence, 14 à Charleroi
  • Namur et Luxembourg : mardi 3 et 17 octobre 2023 – DICS – avenue Gouverneur Bovesse, 100 à Jambes
  • Brabant Wallon et Bruxelles : mardi 7 et 14 novembre 2023 – Centre culturel du BW – rue Belotte, 3 à Court st Etienne
  • Liège : mardi 21 novembre et 5 décembre 2023 – HELMo ESAS – rue d’Harscamp, 60 à Liège

Horaire : de 9h30 à 16h – participation gratuite
Inscription : reseaupourlegalite@gmail.com – 081/77 51 91
Important : Les participants doivent obligatoirement se libérer aux deux dates choisies pour des raisons évidentes de cohérence. Le nombre maximal de participants est limité à 20 personnes.

Le Réseau Egalité en Belgique francophone s’est développé comme un réseau de ressourcement de professionnels provenant de différents secteurs qui se donnent l’occasion de penser, de s’outiller, sur la question de l’égalité. Plusieurs partenaires réunis au sein du réseau mènent actuellement une recherche autour des modes d’action locale des acteurs associatifs et publics. La recherche est animée par Philocité Recherches et des professionnels de différents secteurs de l’action publique et associative membres du réseau égalité : la Province de Namur, le CeRAIC du Hainaut, le Centre d’Action Interculturelle de la province de Namur, la Fédération des Maisons Médicales, l’IWEPS, Cultures & Santé, le Centre culturel de Floreffe, le plan de cohésion sociale d’Ottignies-Louvain-la-Neuve, le Centre culturel du Brabant wallon, le CEFOC, la DICS, l’AVIQ, l’Association Marcel Hicter pour la démocratie culturelle, les Centres locaux de Promotion de la Santé de Namur et du Brabant wallon.




On n’enferme pas un enfant !

Les enfants ne pourront plus être détenu·e·s du fait de leur statut migratoire : une mesure enfin inscrite dans la loi ?

Bruxelles, le 21 mars 2023

Jeudi 9 mars, après de longues négociations, le gouvernement Vivaldi arrivait à un accord sur la migration. La majorité des mesures annoncées inquiète fortement les associations de défense des droits humains qui soulignent cependant une avancée : il est prévu d’enfin inscrire dans la loi qu’un enfant ne peut pas être détenu du fait de son statut migratoire… Une promesse que la coalition Vivaldi avait déjà faite en septembre 2020 et qui mérite d’être concrétisée d’ici la fin de la législature… nous y veillerons.

Rappel historique des faits

En 2023, la Belgique peut toujours détenir un enfant qui n’a pas les bons papiers. Bref rappel des faits :

  • 2006 : suite à l’affaire Tabitha, la Cour Européenne des droits de l’Homme condamne la Belgique. Pendant près de 10 ans, notre pays arrête alors de détenir des enfants et leur famille en centre de détention administrative (centre fermé).
  • Été 2018 : le gouvernement belge en fonction adopte un nouvel arrêté royal lui permettant de reprendre cette pratique pour laquelle il avait été condamné. Un nouveau centre de détention administrative voit le jour : une aile spéciale « pour familles » est annexée au centre 127bis, près de l’aéroport de Zaventem, dont la construction a coûté près de 2 millions d’euros au contribuable belge, hors frais de fonctionnement. En parallèle de cette aberration, une mobilisation citoyenne sans précédent émerge : la campagne On n’enferme pas un enfant. Point. est soutenue par 48.000 citoyen·ne·s et 325 associations.
  • Avril 2019 : suite à cette mobilisation et à l’action en justice de 15 associations, le Conseil d’État suspend l’arrêté royal permettant l’enfermement de familles en séjour irrégulier avec leurs enfants. Il n’est donc plus possible de détenir des enfants pour raisons migratoires dans les conditions existantes, mais la loi ne l’interdit pas encore formellement. Cela reste un combat pour les associations.
  • Septembre 2020 : la Vivaldi, nouvellement formée, publie dans son accord de gouvernement que « des mineurs ne peuvent pas être détenus en centre fermé. »
  • 9 mars 2023 : le gouvernement Vivaldi arrive à un accord sur la migration qui mentionne qu’il sera interdit de placer un enfant dans un centre de détention et que cela sera inscrit dans la loi.

Un engagement qui tarde à se concrétiser

Les promesses sont une chose, mais si elles ne sont pas suivies de faits, elles n’ont aucune valeur et feront l’effet d’une poudre aux yeux. Nous, associations de défense des droits humains, veillerons à ce que d’ici la fin de la législature, le gouvernement respecte enfin sa promesse et inscrive dans la loi, noir sur blanc, l’interdiction de détenir un enfant du fait de son statut migratoire.

De terribles impacts sur la santé des enfants

Enfermer un enfant a des impacts profonds et durables sur sa santé et son développement. Cela a été prouvé par d’innombrables expert·e·s, dont le célèbre neuropsychiatre Boris Cyrulnik qui souligne qu’ « il n’y a pas de bonne façon d’enfermer. L’enfermement est un trauma grave. ». Même des périodes de détention courtes peuvent affecter le bien-être psychique et physique des enfants et compromettre leur développement cognitif. Les expert·e·s en psychologie ayant travaillé avec des enfants de tous âges en centre de détention constatent que la détention provoque chez eux et elles un mutisme, de l’anxiété liée au stress post-traumatique, et même des comportements d’automutilation et tentatives de suicide.[1]

En 2018, Bernard De Vos, alors Délégué Général aux droits de l’enfant, avait rendu visite à une famille de 4 enfants né·e·s en Belgique et expulsée vers la Serbie après avoir été détenue en centre de détention. Il témoignait : « (…) pendant notre présence là-bas, on parlait de la Serbie avec un enfant de trois ans qui faisait le signe avec la tranche de la main sur son cou en disant : ‘Serbie ». Voilà, et ça à trois ans. C’est insupportable ». ».

Un bémol de taille : les maisons de retour

La loi qui devrait être adoptée prochainement portera sur la détention d’enfants en centre de détention administrative. Pourtant, des enfants sont encore actuellement détenu·e·s en « maisons de retour » : il en existe 29 en Belgique. Moins connues, ce sont aussi des lieux de privation de liberté pour des familles migrantes. S’il ne s’agit pas de lieux fermés à clé, il s’agit bien d’une forme de détention qui ne dit pas son nom. L’enfant subit d’abord le traumatisme d’une arrestation. Il/elle est coupé·e de son entourage, doit endurer des restrictions de liberté importantes et des violations de ses droits à l’éducation, aux loisirs… et est finalement menacé·e·s d’être expulsé·e vers un pays qu’il/elle n’a parfois pas connu.

Ancrer dans la loi l’abolition de la détention d’enfants en centre fermé est un premier pas indispensable mais réellement mettre fin à cette pratique inhumaine doit aussi passer par l’interdiction de les détenir en maison de retour. Car un enfant migrant·e est avant tout un·e enfant et qu’on n’enferme pas un enfant. Point.

Signataires

  • Plateforme mineurs en Exil | Platform Kinderen op de vlucht
  • Défense des Enfants International (DEI) – Belgique
  • Jesuit Refugee Service Belgium
  • Service Droit des Jeunes – Namur
  • UNICEF Belgium
  • Ligue des droits humains
  • Coalition Move coalitie
  • APPIJF : Association Professionnelle des Psychiatres Infanto-Juvéniles Francophones
  • WAIMH belgo-luxembourgeoise
  • ATF-MENA
  • Point d’appui ASBL
  • Caritas International
  • NANSENasbl
    Fondation Joseph Denamur
  • Concertation wallonne des acteurs en charge des MENA et (ex)-MENA
  • CRIPEL asbl (Centre régional pour l’intégration des personnes étrangères ou d’origines étrangères de Liège)
  • Live in Colour
  • Centre El Paso de l’association AJDN, Gembloux
  • Kinderrechtencoalitie Vlaanderen
  • Tumult vzw
  • CRIC Charleroi
  • CAI Naimur (Centre d’action Interculturelle de la province de Namur)
  • CRILux (Centre régional d’intégration de la province du luxembourg)
  • CIMB (Centre interculturel de Mons et du Borinage)
  • CRVI (Centre Régional de Verviers pour l’Intégration)

    [1] Notamment, le Docteur Soorej Puthoopparambil Ph.D – Directeur du centre de collaboration de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à l’université d’Uppsala et auteur d’une récente étude de l’OMS sur les problèmes de santé liés à la détention dans la migration

    Contacts presse

    • (NL) Jörg Gebhard, directeur JRS Belgium, jorg@jrsbelgium.org 0456/14.27.24
    • (FR) Eva Gangneux, chargée de plaidoyer à Défense des Enfants International (DEI) – Belgique, Gangneux@defensedesenfants.be 0494/03.93.65
    • (FR) Darya Garegani DG@sdj.be ou Pierre-Yves Rosset PYR@sdj.be, directeur de la Plateforme mineurs en exil 0499/83.18.80




    Inscription à la Concertation du secteur namurois de l’intégration


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    Formations à la langue françaiseFormations à la citoyennetéPermanences socio-juridiques en droit des étrangersInterculturalité (interculturalité, lutte contre le racisme et duo vers l’inclusion)MENA
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    Enquête dans le cadre des futures élections communales et provinciales


    L’accès aux droits fondamentaux des personnes étrangères, parlons-en !

    Dans le cadre des prochaines élections communales et provinciales, nous saisissons l’occasion de vous solliciter pour que les partis traditionnels présents dans notre province puissent prendre en compte dans leurs programmes électoraux les besoins, les difficultés et les obstacles des personnes étrangères dans leur accès aux droits fondamentaux ainsi que les recommandations pour un meilleur vivre ensemble.

    À partir des opinions et suggestions que vous déposerez au travers de cette consultation, le CAI développera trois actions :

    • une rencontre entre les acteurs de l’intégration et les représentant·e·s des partis politiques présents en province de Namur. Elle aura pour objectif d’alimenter les futurs programmes électoraux locaux et provinciaux (mardi 6 juin 2023) ;
    • la rédaction d’un mémorandum adressé aux candidats aux élections communales et provinciales (fin 2023 – début 2024) ;
    • l’organisation d’un échange entre les acteurs de l’intégration et les futur·e·s élu·e·s sur base du mémorandum final (juin 2024).

    SAVE THE DATE

    Nous profitons de l’occasion aussi pour vous convier aux tables rondes politiques le mardi 6 juin prochain, toute la journée à La Marlagne, afin d’échanger, débattre, argumenter avec les représentants des partis politiques sur le contenu de ces propositions. Il y sera bien question des recommandations que vous aurez priorisées dans cette consultation.

    Votre avis est donc bien décisif ! L’invitation suivra, mais bloquez déjà la date dans votre agenda !

    Plus de détails sur l'enquête

    Dans le cadre des prochaines élections communales et provinciales, nous saisissons l’occasion de vous solliciter pour que les partis traditionnels présents dans notre province puissent prendre en compte, dans leurs programmes électoraux, les besoins, les difficultés, les obstacles des personnes étrangères dans l’accès aux droits fondamentaux ainsi que les recommandations pour un meilleur vivre ensemble. Nous sommes convaincus que toute amélioration qui affecterait positivement l’accès aux droits des personnes étrangères ou d’origine étrangère, engendre également des conséquences positives pour toute la population résidant en Belgique.

    Avec cette consultation, notre objectif est de recueillir les opinions des opérateurs et acteurs de terrain sur les différentes thématiques qui constituent le Plan provincial et local d’intégration (PPLI).

    Comme vous le savez peut-être, ces thématiques sont intrinsèquement liées aux droits fondamentaux mais que le CAI traite spécifiquement pour les personnes étrangères ou d’origine étrangère (PEOE).

    Les difficultés que rencontrent les personnes sont identiques à celles rencontrées par tout autre citoyen, parfois vivant dans des conditions de précarité.

    Ce sont notamment :

    • Des problèmes d’accès à l’emploi, au logement ou encore aux soins de santé ;
    • Des problèmes de mobilité dans les zones rurales ;
    • Des problèmes pour faire garder leurs enfants en bas âge ;
    • Ou encore des problèmes de discrimination (handicap, orientation sexuelle, âge, fortune, état civil, convictions politiques ou syndicales, état de santé, caractéristiques physiques ou génétiques, naissance, origine sociale).

    S’y ajoutent, en sus, des spécificités qui leur sont propres :

    • Des problèmes liés à la langue ;
    • Des problèmes liés à la méfiance qui leur est portée sur fond de stéréotypes ou de préjugés ;
    • Ou même des problèmes de discrimination et de racisme (les critères dits « raciaux » parmi lesquels on retrouve la prétendue race, la couleur de peau, la nationalité, l’ascendance, particulièrement l’origine juive et l’origine nationale ou ethnique, ainsi que d’autres critères tels que les convictions philosophiques ou religieuses).

    À partir des opinions et suggestions que vous déposerez au travers de cette consultation, le CAI développera trois actions :  

    • Une rencontre entre les acteurs de l’intégration et les représentant·e·s des partis politiques présents en province de Namur. Elle aura pour objectif d’alimenter les futurs programmes électoraux locaux et provinciaux (mardi 6 juin 2023) ;
    • La rédaction d’un mémorandum adressé aux candidats aux élections communales et provinciales (fin 2023 – début 2024) ;
    • Enfin, l’organisation d’un échange entre les acteurs de l’intégration et les futur·e·s élu·e·s sur base du mémorandum final (juin 2024).

    Cette enquête est conçue de manière très ouverte afin de vous laisser compléter les parties qui vous concernent et/ou pour lesquelles vous estimez avoir du contenu à apporter. On ne peut vous promettre que vous n’y passerez que 5 minutes. Par contre, vous pourrez y déposer vos constats et propositions pour les matières qui sont les vôtres. De plus, si vous avez des suggestions qui dépassent le niveau de pouvoir communal, vous pouvez très bien les ajouter dans l’espace prévu et nous les relaierons pour des mémorandums ad hoc. Enfin, nous précisons que ce questionnaire s’adresse à l’ensemble de notre réseau sur la province de Namur. Il est donc possible que certaines recommandations fassent déjà l’objet d’une action dont vous avez connaissance au niveau local.

    Dans un souci de ciblage des priorités, nous proposons de spécifier la zone d’action dans laquelle/lesquelles vous évoluez. Elles sont regroupées en fonction des coordinations locales définies au CAI, à savoir :

    • Andenne : communes d’Andenne, Gesves et Ohey
    • Beauraing : communes de Beauraing, Gedinne, Bièvre et Vresse-sur-Semois
    • Ciney : communes de Ciney, Assesse, Hamois, Havelange, Somme-Leuze et Rochefort
    • Dinant : communes de Dinant, Anhée, Yvoir, Onhaye, Hastière et Houyet
    • Gembloux : communes de Gembloux, Eghezée, Sombreffe
    • Namur : communes de Namur, La Bruyère, Fernelmont, Foreffe et Profondeville
    • Philippeville : communes de Philippeville, Mettet, Florennes, Walcourt, Doische, Viroinval, Couvin et Cerfontaine
    • Sambreville : communes de Sambreville, Jemeppe-sur-Sambre et Fosse-la-Ville

    Nous avons également mis une option pour les structures actives sur l’ensemble de la province de Namur.

    Participer à l'enquête !

    Cela peut prendre entre 5 et 20 minutes… En fonction de votre intérêt pour les différentes thématiques abordées (possibilité de passer des passages entiers).

    Sources et supports par thématique

    Formations, insertion socioprofessionnelle et diversité :

    • Marché de l’emploi :

    https://www.unia.be/files/Documenten/Publicaties_docs/Monitoring_socio%C3%A9conomique_2022.pdf 0

    https://www.irfam.org/quelles-politiques-inclusives-en-matiere-demploi-a-legard-des-travailleurs-issus-des-migrations%e2%80%89/

    • Insertion professionnelle des personnes étrangères :

    https://www.irfam.org/avantages-et-inconvenients-des-contrats-article-60-pour-les-travailleurs-etrangers/

    https://www.irfam.org/mobiliser-les-entreprises-pour-linsertion-de-travailleurs-issus-de-limmigration/

    https://www.rtbf.be/article/pour-les-mamans-migrantes-un-acces-complique-au-marche-du-travail-11160402

    https://www.irfam.org/le-parcours-dintegration-favorise-t-il-lacces-a-lemploi/

    https://www.irfam.org/inclure-les-personnes-dorigine-etrangere-a-lemploi-en-wallonie-bruxelles/

    • Formations :

    https://www.irfam.org/formations-metier-et-alphabetisation-lalternative-de-la-concomitance/

    https://www.irfam.org/la-formation-linguistique-des-migrants-a-la-recherche-dun-emploi-piege-ou-tremplin%e2%80%89/

    • Diversité sur le lieu de travail :

    https://cainamur.be/temoignages-sur-la-diversite-en-entreprise-capsules-video/https://crvi.be/une-enquete-dans-la-province-de-namur-le-prouve-la-diversite-en-entreprise-est-une-question-encore-consideree-comme-accessoire-par-les-employeurs/

    https://cainamur.be/temoignages-sur-la-diversite-en-entreprise-capsules-video/https://crvi.be/une-enquete-dans-la-province-de-namur-le-prouve-la-diversite-en-entreprise-est-une-question-encore-consideree-comme-accessoire-par-les-employeurs/

    https://www.irfam.org/mediation-interculturelle-en-entreprise-favoriser-linclusion-des-diversites-dans-le-monde-du-travail/

    https://www.youtube.com/watch?v=5QEO8Qo3wTQ

    https://fedweb.belgium.be/sites/default/files/downloads/broch_po_diversite_guide_methodologique_fr.pdf

    http://www.diversitewallonie.be/informations/et-si-on-travaillait-ensemble

    http://www.diversitewallonie.be/wp-content/uploads/2019/02/coaxions-diversite%CC%81_V3.pdf

    • Ecole et scolarité :

    https://www.irfam.org/laccueil-denfants-de-parents-immigres-effets-sur-lacces-a-lemploi-et-legalite-hommes-femmes/

    https://www.irfam.org/la-nuit-des-profs-reflechir-lemancipation-des-eleves-en-contexte-de-diversite/

    https://www.irfam.org/promouvoir-la-citoyennete-interculturelle-par-lhospitalite/

    • Mobilité :

    https://www.irfam.org/la-mobilite-et-linsertion-professionnelle-des-refugies-et-des-primo-arrivants-en-belgique/

    Santé et santé mentale

    https://medecinsdumonde.be/system/files/publications/downloads/Note%20d%27interpellation%20AMU%20juin%202022.pdf

    Interculturalité

    Notre société n’est pas en crise, elle évolue. – Ceci n’est pas une crise (cecinestpasunecrise.org)

    Personnes Sans-papiers

    https://www.irfam.org/les-cartes-didentite-communales/

    http://www.revue-democratie.be/index.php?option=com_content&view=article&id=1474:la-regularisation-des-sans-papiers-une-necessite&catid=67&Itemid=147

     

    Lutte contre le racisme

    www.unia.be





    Sakife

    En partenariat avec

    Caravane pour la Paix et la Solidarité
    La Ville de Namur
    Présence et actions culturelles
    Le Sireas

    Le CAI a le plaisir de vous proposer l’exposition

    SAKIFE

    Des photos de Christophe Smets avec des textes de Olivier le Bussy

    Accessible gratuitement les 7, 8, 12, 13, 14, 15 et 16 avril entre 14 et 18 heures

    Au CCN, sur le site des Anciens Abattoirs de Bomel (voir plan sur google map)

    Sakife est un projet d’expo-reportage photo de La Boîte à Images asbl qui a pour cadre les provinces du Nord et du Sud Kivu à l’est de la République démocratique du Congo, et qui vise à mettre en lumière les rôles des femmes dans le système de santé, en lien notamment avec le travail du docteur Mukwege, prix Nobel de la Paix 2018. Le projet saisit des instantanés de vie de femmes prestataires de soins, patientes ou victimes pour rendre compte de l’importance des différents aspects de la santé des femmes, dont les violences sexuelles.

    Pour l’occasion, nous vous proposons également deux activités gratuites liées à la thématique.

    Caravane pour la Paix et la Solidarité présente ses activités en Belgique et au Congo

    Jeudi 13 avril de 14 à 18h

    > Plus d’infos

     

    Conférence :

    L’instabilité de l’Est du Congo : causes et conséquences

    Jeudi 13 avril 2023 de 18h à 20h

    La situation dans les régions des deux Kivu au Congo est instable depuis des années, affectant la sécurité, la santé, l’environnement, le travail, en un mot la survie des populations. Cette conférence, donnée par Monsieur Hubert Leclercq, journaliste à La Libre Belgique, sera l’occasion d’en identifier les protagonistes, les causes et les conséquences. Un détour par l’histoire des cent dernières années permettra d’approfondir l’analyse, en abordant par exemple l’impact de la colonisation et la décolonisation, celui du génocide des Tutsis par les Hutus au Rwanda, la fin de règne de Mobutu et l’assassinat d’Habyarimana, le rôle de l’armée rwandaise et celui de l’Ouganda. Seront également abordées les raisons de la persistance de cette instabilité, les enjeux de l’élection présidentielle de 2023, l’exploitation des ressources naturelles par les pays étrangers et voisins, et les impacts sur les populations.

    > Infos et inscriptions 

    Jeu de la ficelle – ANNULÉ

    Animé par le PAC Namur

    Le samedi 15 avril de 14 à 16 heures

    Plus d’un demi-siècle après l’indépendance du Congo, il est nécessaire de questionner l’histoire coloniale belge, de déconstruire les récits nationaux et la version officielle de l’histoire. Pendant plus de 80 ans, la Belgique a exploité les ressources du Congo, du Rwanda et du Burundi. Cette exploitation massive a permis à la métropole notamment d’accomplir sa révolution industrielle. Elle a été permise par le travail forcé, très souvent mal payé et accompli dans des conditions sociales et sanitaires désastreuses pour les Congolais.es, Rwandais.es et Burundais.es. Ce système a laissé durablement des traces, bien au-delà de la domination coloniale belge.

    C’est pourquoi Présence et Action Culturelles, mouvement d’éducation permanente, a développé en partenariat avec Solsoc une version du jeu de la ficelle interrogeant la relation entre la Belgique et le Congo, à travers l’exploitation des ressources et des populations. Pour ce faire, cet outil pédagogique prend pour point de départ un objet familier : le téléphone portable. Il questionne les liens particuliers de cet objet avec les filières d’extraction et d’exportation des minerais qui rendent possible sa fabrication depuis le Congo.

    Il interroge le rôle joué par des entreprises belges dans sa fabrication et leurs liens avec l’histoire coloniale : comment ces activités industrielles affectent-elles la réalité des travailleur·euses sur le sol congolais et belge ? Quels sont les liens entre les conflits à l’Est du Congo et la fabrication du téléphone portable ? En quoi les mouvements migratoires peuvent-ils être compris à la lueur de ces conflits et enjeux économiques ? Pourquoi finalement connaissons-nous aussi mal notre histoire coloniale ?

    Cliquez sur l’image pour agrandir