2004 – Lancement de la publication Coaxions


2004 – Lancement de la publication Coaxions

Coaxions : les cahiers du CAI est une publication en série destinée à visibiliser les pratiques et réflexions du CAI sur des thématiques spécifiques. Son titre évoque l’action collective et reflète l’objectif de la revue : rassembler, transmettre et outiller les acteurs de l’interculturalité.

Depuis sa création, le CAI s’efforce de transmettre un maximum d’informations sur les thématiques qu’il traite et les publics qu’il accompagne. Une partie de son action repose d’ailleurs sur ce soutien documentaire. Au fil du temps, le Centre aspire à transmettre le savoir-faire qu’il a acquis en matière de formation et de méthodologie interculturelles ; un axe d’action qu’il a surtout développé à partir des années 1990. La méthode et les processus de travail ont en effet pour lui une grande importance. De manière à initier, outiller et former les opérateurs, le CAI décide de synthétiser et transmettre son savoir et ses expériences à travers des cahiers appelés Coaxions. Entre 2004 et 2019, cette publication aborde de grandes thématiques investies par le CAI, met en lumière certains projets et éclaire des pratiques, comme en témoignent les titres des cahiers :

  • 2004 (décembre) : « Outils de diversité… au service de l’action interculturelle ? L’exemple de la Manne à pain ».
  • 2006 (décembre) : « L’islam dans l’espace public ».
  • 2007 (mai) : « La médiation interculturelle : entre approche conceptuelle et pratique professionnelle ».
  • 2014 (décembre) : « 50 ans de l’immigration marocaine et turque en province de Namur ».
  • 2015 (juin) : « Travailleurs étrangers ou d’origine étrangère avec ou sans emploi en province de Namur ».
  • 2017 (juillet) : « Acquisition de la nationalité belge : liens avec le parcours d’intégration ».
  • 2018 (janvier) : « Radicalisme ».
  • 2019 (janvier) : « Diversité ethnoculturelle et emploi ».

Avec le même objectif, le CAI édite parallèlement quelques brochures, notamment sur la systématisation d’expériences et sur l’accompagnement interculturel, en 2020, ou sur la manière de « Mener des projets interculturels avec les jeunes », en 2022.

Le CAI poursuit ainsi son travail d’information entamé dès ses débuts et qui s’est décliné au fil du temps à travers son centre de documentation (de 1984 à 2020), ses études statistiques ou ses premières publications périodiques (Devenir du migrant, Horizons 2000, Horizons), avec l’idée de nourrir la réflexion et de faire lien.

* Légende

Ressources à télécharger :

  • Ajouter liens

Jargon, abréviations, sigles et acronymes : 

  • Ajouter liens

Sources :

  • Ajouter liens

Catégories :

Axes stratégiques d’intervention :

☑ Accompagnement
☑ Interpellation
☑ Travail en réseau

Thématiques traversées par l’activité :

Générales :

☑ Citoyenneté
☑ Enseignement / formation / emploi
☑ Juridique / justice
☑ Logement
☑ Mobilité
☑ Santé

Spécifiques :

☑ Intégration
☑ Interculturalité
☑ Lutte contre les discriminations
☑ Lutte contre le racisme

 





1995 – Formation d’intervenants sociaux à la « relation interculturelle »


1995 – Formation d’intervenants sociaux à la « relation interculturelle »

À partir de 1995, le Centre (CSCIN, puis CAI) systématise son offre d’accompagnement à la relation interculturelle auprès de divers intervenants amenés à côtoyer des personnes d’origines étrangères (personnel des administrations publiques, de la santé, travailleurs sociaux, travailleurs du monde associatif, etc.) (Voir Fiche 12). Du coaching et des formations sont proposés et ajustés en fonction des publics. Cet accompagnement permet aux professionnels de mieux intégrer les enjeux de l’interculturalité dans leurs pratiques et d’enrichir leurs compétences en les sensibilisant à la diversité des cultures. Il permet ainsi d’améliorer la compréhension et la gestion des différences culturelles pour mieux dépasser les barrières existantes. Ces formations continuent d’évoluer jusqu’à aujourd’hui, en s’adaptant aux besoins du terrain, tout en conservant l’objectif initial de favoriser la qualité de la rencontre et du dialogue interculturel.

Jusqu’en 1994, le CSCIN travaille principalement à réunir des données et des connaissances sur l’immigration, à l’exemple de la recherche statistique de Bernard Debacker, intitulée La population immigrée en province de Namur. Le travail de médiation réalisé entre les familles immigrées et les différents services et institutions permet d’étoffer ces connaissances et de valider sur le terrain l’expertise acquise par l’équipe. Fort de ces compétences, le Centre étend progressivement son action, en proposant un accompagnement ciblé, puis des formations pour aider les services et institutions à mieux intégrer les enjeux interculturels dans leurs pratiques.

Cette offre de formation est d’abord proposée au cas par cas, puis structurée pour répondre aux besoins spécifiques de services sociaux, hospitaliers, éducatifs et judiciaires. Cette dynamique est renforcée après les Assises de l’Intégration (1994 ?) qui consacrent cette mission de formation. Elle rencontre d’abord l’intérêt des services provinciaux, entre autres des services de santé mentale de la Province et de l’Observatoire de la Santé. Par la suite, d’autres institutions sollicitent, ponctuellement ou régulièrement, le CAI pour des formations ou du coaching, à l’exemple de l’École de soins infirmiers Sainte-Elisabeth de Namur et de l’École normale de Champion où le CAI présente des conférences  dans le cadre des cours réguliers à destination des futurs infirmiers ou enseignants.

La Communauté française soutient aussi cette démarche. À son initiative, une formation de formateurs à la relation interculturelle est proposée au Centre socioculturel des immigrés de Namur (futur CAI), mais aussi au Centre bruxellois d’Action interculturelle (CBAI) et au sein de l’ASBL liégeoise Résonnances. L’objectif est d’intégrer l’approche de la psychologue française Margalit Cohen-Emerique, spécialiste des questions d’interculturalité, dans les formations à destination des travailleurs sociaux et culturels en Belgique francophone. Celle-ci est notamment à l’origine de la « méthode des incidents critiques » basée sur l’analyse des chocs culturels et qui vise à atteindre un certain degré de neutralité culturelle chez les intervenants, de manière à favoriser le dialogue interculturel et la résolution des conflits.

Parallèlement, une recherche-action, financée par le ministre de l’Éducation Philippe Mahoux, est menée par Ahmed Ahkim sur le thème « Les parents immigrés et l’école », où il tente d’introduire de la complexité dans la compréhension des phénomènes interculturels vécus dans le milieu scolaire. L’expertise du CAI s’approfondit aussi avec la pratique de terrain.

Les demandes d’information et d’accompagnement des intervenants sociaux, éducatifs et médicaux adressées au Centre se multiplient, ce qui conduit le CAI à mettre en place des modules de formation, seul ou en partenariat. 

De 1995 à 1999, le module de « Formation à la relation interculturelle » a beaucoup de succès. Face à cet engouement, des formations sectorielles spécifiques sont organisées en partenariat avec l’École des Cadres de la Province de Namur (« Formation PISQ » [Petites infrastructures de quartier], à la demande de la Région wallonne) ou la Ville de Namur (« Formation d’animateurs de quartier », pour les quartiers des Balances et Plomcot). À la demande du ministère de la Santé, une « Formation à la médiation interculturelle » est également organisée dans un partenariat renouvelé avec l’École des Cadres de la Province de Namur, avec pour objectif de former la première génération de médiateurs et médiatrices pour les hôpitaux francophones.

Ces diverses formations sont organisées au sein de différentes institutions et à l’attention de différents intervenants et futurs intervenants : élèves des écoles d’infirmières et écoles normales, animateurs, formateurs des CEFA-Namur (Centre d’éducation et de formation en alternance), régies de quartiers, personnel des administrations publiques, personnel médico-social de la Province, etc.

Parmi les questions abordées lors de ces formations, on peut citer : les réalités interculturelles, la notion d’identité personnelle en fonction de sa culture propre, les systèmes de référence de l’autre, la négociation interculturelle, etc.

* Légende

Ressources à télécharger :

  • Ajouter liens

Jargon, abréviations, sigles et acronymes : 

  • Ajouter liens

Sources :

  • Ajouter liens

Catégories :

Axes stratégiques d’intervention :

☑ Accompagnement
☑ Interpellation
☑ Travail en réseau

Thématiques traversées par l’activité :

Générales :

☑ Citoyenneté
☑ Enseignement / formation / emploi
☑ Juridique / justice
☑ Logement
☑ Mobilité
☑ Santé

Spécifiques :

☑ Intégration
☑ Interculturalité
☑ Lutte contre les discriminations
☑ Lutte contre le racisme

 





1985 –  Formation d’animateurs en milieu immigré


1985 –  Formation d’animateurs en milieu immigré

Différents cycles de formation complémentaires sont organisés par le Centre pour permettre aux animateurs d’origines étrangère travaillant en milieu immigré d’élaborer des projets d’animation sur la base de techniques diverses. C’est le début d’un axe de travail important pour le Centre.

Cette formation est organisée en collaboration avec l’ASBL ATAC (Association Travail-Amitié-Culture – service formation de la FGTB Namur). 

Le premier cycle aborde les thèmes suivants : 

  • L’analyse et la construction de l’histoire de l’immigration au travers des histoires individuelles. 
  • L’insertion sociale, culturelle et politique des immigrés, aujourd’hui dans la société d’accueil.
  • Les éléments de synthèse pour une photographie de l’immigration et son devenir. 
  • L’analyse de stéréotypes, leurs origines et leurs significations. 
  • Le rôle social et la communication, analyse de la communication par le jeu de rôles. 
  • Comment construire un projet d’animation à partir de cultures différentes ? Pistes d’action. 

Le second cycle permet, quant à lui, d’aborder des domaines plus spécifiques de l’animation. Il propose une introduction aux techniques d’animation et d’affiner les connaissances dans certains domaines tels que : la scolarisation et l’insertion socioprofessionnelle des jeunes migrants ; l’insertion sociale, culturelle et politique du migrant ; le développement de la personnalité ou l’élaboration d’un projet d’animation. Le troisième cycle approfondit certains points traités lors des deux premiers cycles.

Par la suite, cette formation évoluera vers une formation à la relation interculturelle et en développement de projets interculturels (à partir de 1995). Celle-ci ne s’adresse alors plus spécifiquement aux animateurs d’origine étrangère, mais plus largement aux intervenants sociaux de la société d’accueil. 

* Légende

Ressources à télécharger :

  • Ajouter liens

Jargon, abréviations, sigles et acronymes : 

  • Ajouter liens

Sources :

  • Ajouter liens

Catégories :

Axes stratégiques d’intervention :

☑ Accompagnement
☑ Interpellation
☑ Travail en réseau

Thématiques traversées par l’activité :

Générales :

☑ Citoyenneté
☑ Enseignement / formation / emploi
☑ Juridique / justice
☑ Logement
☑ Mobilité
☑ Santé

Spécifiques :

☑ Intégration
☑ Interculturalité
☑ Lutte contre les discriminations
☑ Lutte contre le racisme

 





1985 –  Lancement du bulletin de liaison Devenir du Migrant


1985 –  Lancement du bulletin de liaison Devenir du Migrant

Le Centre (CSCIN) lance l’édition d’un périodique trimestriel à destination des immigrés. Cet outil de communication est complémentaire aux actions menées sur le terrain. Il joue le rôle de trait d’union entre les membres d’une même origine linguistique, tout en servant de lien entre les différentes associations actives sur le territoire hors des trois centres urbains (Andenne, Namur et Sambreville).

Au départ, ce périodique est édité en français, mais également traduit en plusieurs langues –italien, arabe, turc et espagnol, et sert d’organe de liaison entre les différentes associations d’immigrés de la province de Namur. Son objectif est de favoriser leur connaissance mutuelle et de les tenir informées des dernières dispositions légales concernant les immigrés : à propos notamment du séjour, de la sécurité sociale, du travail, de la santé, du chômage ou de l’école. Mais également, de permettre à ces associations de découvrir les initiatives menées par leurs homologues dans d’autres régions. Son contenu mêle ainsi des articles traitant d’aspects juridiques, des articles de fond, des comptes-rendus, des données statistiques, de la poésie, promeut différentes activités et initiatives locales et propose un agenda culturel.

 

Tiré initialement à 3000 exemplaires, le bulletin voit le nombre d’exemplaires progressivement augmenter pour atteindre 5500 en 1986, puis 7000 l’année suivante. Ceux-ci sont envoyés par la poste à toutes les familles immigrées de la province de Namur, ainsi qu’à quelques deux cents organismes de la province. En plus des associations d’immigrés, des mouvements d’éducation permanente et des organisations syndicales, le périodique est aussi envoyé aux administrations communales (services sociaux et service population), aux différentes antennes des CPAS, aux services sociaux privés ou aux mutuelles.

 

En 1987, le périodique Devenir du migrant change de nom pour celui d’Horizons 2000 (qui deviendra simplement “Horizons” en 1998). Ce nouveau titre fait référence aux origines variées des destinataires (provenant de tous horizons), mais aussi à la volonté d’étendre sa diffusion tous azimuts et à la volonté d’avancer ensemble, Belges et étrangers, vers le cap symbolique du nouveau millénaire. À partir de 1991, chacun de ses numéros traite un dossier ou un thème d’actualité, tout en continuant à relayer les activités et services des associations et à promouvoir ses propres actions. Cette publication aborde des sujets comme la guerre du golfe, les demandes d’asile, le racisme, le rôle de la famille, l’acquisition de la nationalité, l’intégration ou la politique communale et permet au Centre de diffuser ses outils pédagogiques. Elle s’accompagne à partir de 2004 de la revue Coaxions, qui se concentre alors essentiellement sur des dossiers thématiques liées aux activités du Centre (devenu CAI). L’objectif de cette évolution est de « favoriser l’expression, la prise de parole critique et d’assurer la diffusion de cette parole et des expériences de terrain comme éléments majeurs d’une meilleure connaissance de l’autre »[1].

 

Le Centre collabore aussi à la revue trimestrielle Osmoses, éditée cette fois par la Fédération des Centres régionaux d’intégration (FéCRI) entre 1996 et 2009 et qui totalise 57 numéros. Il y propose des articles de réflexion sur différents sujets de fond, tire les bilans de ses expériences et revient sur les projets qu’il a initiés, permettant ainsi de nourrir le dialogue inter-centres. Parmi les sujets traités figurent par exemple : l’action sociale, le décret CRI, les défis des migrations et de l’intégration, la question de la diversité, celle de la participation des étrangers, la position de l’Europe, la médiation interculturelle dans les hôpitaux, l’inhumation des musulmans, la question des sans-papiers, les initiatives en matière d’apprentissage du français.

 

Ces outils évolueront jusqu’à disparaître petit à petit sous leur forme matérielle, au profit des canaux de communication numériques (mailing, newsletter, réseaux sociaux,…).

 

[1] « Horizons survivra »,  Couverture de Horizons, n° 2003-3 (2003), Centre d’action interculturelle de la province de Namur.

Couverture Horizons (2003/2)

Couverture de Horizons, n° 2003-2 (2003), Centre d’action interculturelle de la province de Namur.

📄 Voir le document

Courrier du lecteur, Le devenir du migrant ?, n° 1/85 (français), 1985, Archives du CAI.

Ressources à télécharger :

  • Ajouter liens

Jargon, abréviations, sigles et acronymes : 

  • Ajouter liens

Sources :

  • Ajouter liens

Catégories :

Axes stratégiques d’intervention :

☑ Accompagnement
☑ Interpellation
☑ Travail en réseau

Thématiques traversées par l’activité :

Générales :

☑ Citoyenneté
☑ Enseignement / formation / emploi
☑ Juridique / justice
☑ Logement
☑ Mobilité
☑ Santé

Spécifiques :

☑ Intégration
☑ Interculturalité
☑ Lutte contre les discriminations
☑ Lutte contre le racisme

 





Cycle de formation : De la multiculturalité à l’interculturalité. Module 1 « Initiation à l’approche interculturelle »

31/3 - 23/4 - 5/6

9h30 - 16h30

à destination de toute personne désireuse d’en savoir plus sur la thématique - les enseignants - les professionnels et volontaires des initiatives locales d'intégration

CAI Namur

Présentation

Développer des actions au sein d’environnements multiculturels requiert d’impliquer et de mobiliser tous les acteurs concernés. Or, des barrières culturelles peuvent apparaître, provoquant des malentendus qui mènent parfois à l’échec des projets.  Comment surmonter les obstacles de la différence culturelle lors de la conception et la mise en œuvre des actions ? Comment travailler collectivement autour de notions porteuses de sens pour tous ? Comment impliquer les bénéficiaires des projets dans l’élaboration de ceux-ci dès le départ ? Ce cycle de formation, composé de deux modules, vous fournira des pistes pour développer des projets d’action collective et interculturelle et augmenter leurs chances de réussite.

Le module 1, « Initiation à l’approche interculturelle » vise à développer et renforcer vos compétences interculturelles, en travaillant la capacité à se décentrer par la prise de conscience de son cadre de référence culturel et de ses zones sensibles, la capacité à déconstruire les stéréotypes et préjugés en vue de développer la compréhension et l’accueil mutuels, et la capacité à la négociation interculturelle en vue de trouver des solutions interculturelles lorsqu’il y a choc culturel, rupture de la communication voire conflit. Les concepts et contenus repris ci-dessous seront abordés :

  • Concepts de culture, de cadre de référence culturel, d’identité et facettes identitaires, de zones sensibles, de système de valeurs au travers d’activités et mises en situation
  • Techniques de décentration pour soi et d’exploration du cadre de référence culturel de l’Autre
  • Concept de stéréotype, préjugé, discrimination, intersectionnalité
  • Initiation à la méthode d’analyse des incidents critiques selon Margalit Cohen-Emerique
  • Initiation à la négociation interculturelle : une attitude à développer au quotidien pour co-construire avec toutes les personnes concernées des solutions interculturelles

Si vous développez des outils de communication, de sensibilisation à destination de votre public, et souhaitez améliorer leur accessibilité et leur lisibilité, en intégrant à la fois les apports de la démarche interculturelle et les grands principes communicationnels, nous vous conseillons de vous inscrire à notre formation  « Trucs et astuces pour rendre ses documents écrits accessibles à tous ».

Aller au Module 2 « Concevoir et développer un projet interculturel »

Objectifs
  • Être capable de se décentrer par la prise conscience de son identité, de son propre cadre de référence culturel, de ses zones sensibles et de son système de valeurs.
  • Apprendre à connaître et accueillir l’identité, le cadre de référence culturel et le système de valeurs de l’Autre.
  • Déconstruire les stéréotypes et préjugés.
  • Découvrir et s’approprier l’approche interculturelle formalisée par Margalit Cohen-Emerique.
  • S’exercer à l’analyse d’incidents critiques à l’aide de la grille de Margalit Cohen-Emerique.
  • Développer sa compétence à la négociation interculturelle.
  • Renforcer sa capacité à prendre en compte la dimension interculturelle dans ses pratiques professionnelles au quotidien.
Prérequis

Être disposé·e à prendre conscience de son propre cadre de référence culturel et de son identité par des exercices et mises en situation, et s’engager à être présent·e tout au long des trois journées de formation.

Formulaire d'inscription à cette formation

Formation terminée